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  • Photo du rédacteurPriscilla

Bilan lectures du mois de mars

Un mois de mars chargé avec un total de 25 lectures, avec de nombreux mangas et une bande-dessinée (quand même) et autant de coups de cœur que de flops…


Allez, c’est parti, faisons le récapitulatif de toutes ces lectures !




Entends ma voix de Zelda Lockhart (⭐⭐⭐,5)

Un roman reçu en tant qu’ambassadrice Au gré du monde pour Harper Collins, un voyage aux Etats-Unis aux côtés d’une lignée familiale prise dans la souffrance de l’esclavagisme, du racisme, avec un aspect spirituel qui m’a plu, mais que de violence ! J’ai été à distance tout au long du roman, malheureusement…


« « Seigneur Jésus, si ce n’est pas le bébé le plus noir né de ce côté du Ciel ! » Le monde accueille ainsi Lottie Rebecca Lee.

D’un autre côté du ciel, un siècle plus tôt, naissait son ancêtre ghanéenne embarquée de force aux États-Unis pour travailler comme esclave. Sa voix, le père et le grand-père de Lottie Rebecca l’entendent qui murmure à leur oreille…Né pendant la Grande Dépression, Benjamin Lee laisse derrière lui la terre orange du Mississipi qui l’a vu peiner dans les champs de tabac pour rejoindre la Corée. Quelques années plus tard, Benjamin Junior part se battre à son tour, au Vietnam. Tous deux tentent désespérément de fuir le souvenir qui les hante dans leur chair, leur sang.En vain. À son retour, B.J. reprend la route du Sud et s’installe en Caroline du Nord, où sa fille Lottie Rebecca voit le jour. Bientôt le comportement de la fillette inquiète son entourage : elle dessine d’atroces images, exhumant sans le savoir le terrible passé des siens.Mais peut-être est-elle le seul espoir de sa famille. Celle qui parviendra à la libérer des liens qui l’enchaînent et, enfin, à lui offrir la paix. »


Esthétique du care pour l’Anthropocène de Maria Grace Gonzalez (⭐⭐⭐⭐⭐)

Un essai reçu via une Masse critique Babelio et franchement, je me suis pris une claque intellectuelle. Une centaine de pages, mais impossible de résumer vu la richesse de la réflexion, par une philosophe qui prend un point de vue décolonial pour penser l’Anthropocène.


« Est-ce qu'il reste quelque chose à faire ? A dire ? A réfléchir ? Est-ce que nous pouvons continuer à croire que des connaissances suffisent pour changer nos conduites, nos décisions ? Qu'est-ce qui a suffisamment valeur pour nous, en tant qu'humains, pour faire face aux urgences planétaires ? Cet ouvrage explore les dimensions imaginaires des diverses crises d'habitabilité qui façonnent l'époque désignée comme "Anthropocène". Il propose une réponse esthétique à une question morale. Penser l'Anthropocène depuis une perspective morale implique de nous demander comment nos décisions sont modelées et prises, Selon quelles échelles de valeur nous décidons ce qui compte et ce qui sera interprété comme secondaire, contextuel ou accessoire. A partir d'une lecture des crises des éthiques du care, cette analyse explore l'hypothèse que l'Anthropocène repose sur une dimension sensible et morale ; que notre manière de désirer, d'imaginer, et de rêver est aussi façonnée de manière anthropocénique, tant au niveau individuel qu'au niveau collectif. Les esthétiques du care sont ici présentées comme des alternatives pratiquées dans le Sud global pour débattre des imaginaires auxquels nous nous référons pour sentir-et-penser les crises. Elles sont tout à la fois un concept et une pratique incarnée. Ces pages ouvrent une option décoloniale pour interpréter les crises et des possibles voies d'action. En ce sens, il ouvre des alternatives au système-monde moderne, qui homogénéisant, n'offre pas de place pour toutes et tous, car ce modèle mène la planète à un déséquilibre qui en menace la vie dans son ensemble. »


Godkiller d’Hannah Kaner (⭐⭐⭐⭐)

J’avais pas mal d’attentes sur ce roman et le début a été difficile, mais ensuite, les choses se sont mises en place et j’ai fini par accrocher. L’univers est vraiment le point fort, j’aime beaucoup quand les esprits et divinités naturelles ont une place prépondérante.


«  Kissen est une déicide, une tueuse de dieux. Elle leur voue une haine dévorante depuis que les adorateurs d'une divinité du feu ont violemment assassiné toute sa famille. Elle croise un jour le chemin d'un étrange dieu amnésique dont l'existence est liée à celle d'une jeune noble. Ne pouvant le tuer sans prendre la vie de la petite fille, elle décide de les accompagner dans la cité en ruine de Blenraden afin d'obtenir les faveurs des derniers dieux sauvages qui y résident. Rejoints par un chevalier désabusé et poursuivis par de ténébreux démons prêts à tout pour les tuer, ils prennent conscience du rôle capital qu'ils auront à jouer pour sauver leur monde de l’agonie. »


To gaze upon wicked gods de Molly X. Chang (⭐⭐⭐,5)

Une lecture en VO qui a déchainé les passions sur Goodreads, mais étrangement, le point de friction n’est pas du tout celui que les autres détestaient. Il y a un gros débat sur ce roman autour d’une romance coloniale, l’héroïne ressentant des choses pour son oppresseur, mais à mon sens, c’est juste pour souligner la difficulté à faire la part des choses quand l’oppresseur réussit à se faire passer pour le sauveur. De mon côté, c’est juste que j’ai trouvé que ça tournait en rond au niveau de l’intrigue et de la psychologie de l’héroïne.


« For as long as Yang Ruying can remember, the empire of Er-Lang has been occupied by Romans, whose advanced science and military make them Gods. But these Gods are not kind. Their only gifts: cruelty, opian, and destruction.When Antony, the second Prince of Rome, uncovers Ruying's power, she becomes what she always feared: the perfect assassin. As tensions mount and rebellion stirs, Ruying can no longer deny that peace is a death sentence for Er-Lang. A death she may not be willing to deliver. »


A story spun in scarlet de Renee Dugan (⭐⭐⭐⭐⭐)

Ohlala, Dieu que j’ai pleuré et aimé cette lecture, c’était incroyable. L’univers et l’intrigue sont géniaux, tandis que la romance prend aux tripes et les personnages sont si attachants. Une plume riche et immersive, qui va très bien avec le système magique basé sur la narration d’histoires…


« LET ME TELL YOU A STORY… AUDRA JASHOWIN is a storyteller without a purpose. When all the tales in the land of Mithra-Sha lost their endings, Audra fled from her family's rejection and the only home she ever knew. Now, with a sense of veiled danger haunting her heels and her life as devoid of direction as her stories, she arrives at long last in a city of fresh starts and second chances. There, she finds an adventure greater than she ever dreamed. JAIK GRISSOM might be the key to bringing back the power of all stories. A simple farmhand with a way around weapons, Jaik possesses more than a sharp wit that sets Audra's soul aflame. He's a natural amplifier with the talent to breathe life into her tales...into all the tales in Mithra-Sha. Chased from their comfortable lives by a stroke of ill luck on a fateful night, Audra and Jaik embark on a journey for answers-through the wilderness and over the raging sea, to the heart of storytelling itself. Along the way, the strange bond between them deepens as they begin to uncover a mystery that lurks beneath all the broken tales, written in the shroud of their own unlikely pasts. To mend the fractured stories in Mithra-Sha, Audra and Jaik must learn to embrace what lives at the core of their own stories: the bravery and brilliance, the loyalty and love, and the purpose and power they both harness-together and apart. And they must face a terrible truth penned between the pages of their quest...a tragedy that will change the course of history and rewrite the ending of their tale forever. »


Les carnets de l’apothicaire tomes 4 à 12 de Nekokurage (⭐⭐⭐⭐⭐)

J’ai dévoré tous les tomes restants de cette saga de manga, c’est tellement bien ! L’intrigue est complexe, les personnages dévoilent leurs secrets et leur passé, les relations prennent de l’épaisseur, bref, je n’ai qu’une hâte, la sortie du tome 13 !


Birnam Wood d’Eleanor Catton (⭐⭐⭐⭐)

Un thriller psychologique et écologique néo-zélandais qui nous plonge aux côtés de personnages très bien campés, allant lentement mais sûrement vers le pire. C’est une réussite, avec de nombreux passages mettant en exergue des thématiques et débats actuels passionnants.


« « Il allait faire ce à quoi personne ne s’attendait. Il allait investir son argent dans Birnam Wood. » Un grand naïf, une militante écologiste, un milliardaire aux ambitions démesurées. De quels compromis, de quels renoncements seront-ils capables à l’heure où leurs idéaux sont mis à l’épreuve ? »


Le jardin botanique tome 1 de Claire Hansen (⭐⭐⭐⭐)

Un roman qui a tellement de potentiel, mais je n’ai pas su me défaire des défauts… Et en même temps, j’ai envie de lire la suite, donc il y a quelque chose de réussi. Mon principal problème à mes yeux est l’univers beaucoup trop fouillis, avec des incohérences et des points qui ne sont presque pas abordés ou expliqués. Dommage !


« Recalée du conseil des Magiciens, Judie rêve de rejoindre l'unité d'élite du Jardin Botanique, mais elle doit se contenter de les guider à distance. Jusqu'au jour où elle sauve l'Élu et Calixte, le chevalier venu les secourir, grâce à une magie que nul autre ne maîtrise. Mais être membre du Jardin Botanique a un prix. Le renégat qu'elle a déjoué a juré sa perte et sa magie attire désormais l'attention. Entre les épreuves de ses nouvelles fonctions, le sourire cryptique de Calixte et l'hostilité du fils du roi, lui-même magicien grâce au don maudit de son sang, est-elle prête à risquer sa vie pour gagner sa place ? Lorsque Morgan, gardien de la frontière et lui aussi porteur du don maudit, vient régler ses comptes, les certitudes de Judie basculent. Sa magie peut-elle protéger le roi ? Et surtout, est-ce ce qu'il y a de mieux pour elle ? Sur la frontière, tous les talents sont les bienvenus. Et personne, pas même le Jardin Botanique, n'a choisi son camp… »


La bibliothèque des rêves secrets de Michiko Aoyama (⭐⭐⭐⭐)

Ma lecture de mars du 12 Books challenge, un roman japonais dans la veine de ce qui se fait actuellement : des tranches de vie comme autant de nouvelles, qui finissent par se croiser parfois, pour mettre en avant le pouvoir de la lecture. Une écriture simple et poétique, des personnages perdus qui vont retrouver un sens suite à un étrange conseil de lecture d’une bibliothécaire, c’est mignon et doux, mais ce n’est pas un coup de cœur non plus.


« Imposante et énigmatique, coincée entre le paravent et le bureau d'angle d'une petite bibliothèque au coeur de Tokyo, Sayuri Komachi attend patiemment ceux qui décident de venir la voir. Hommes ou femmes, jeunes ou vieux, salariés ou retraités..., ils sont tous au carrefour de leur vie. À chacun, la mystérieuse bibliothécaire propose un ouvrage totalement inattendu, bien loin de celui qu'il était venu chercher. Et derrière cette lecture imprévue se dessinent toujours les premiers jalons d'un nouveau départ. Un roman choral poétique qui célèbre le pouvoir des livres et l'importance qu'une personne attentive et attentionnée peut avoir sur le destin d’autrui. »


Les sept lunes de Maali Almeida de Shehan Karunatilaka (⭐⭐⭐⭐)

Un roman sri-lankais qui me faisait de l’œil depuis un certain temps et j’ai aimé le ton féroce, cru et cynique, mais il faut avoir le cœur accroché, car ce roman dénonce les violences de la guerre civile qui a détruit le Sri Lanka. Avec une pointe de fantastique avec le folklore et le protagoniste que l’on suit sous forme d’esprit. Une lecture qui marque !


« « Chaque âme a le droit d’errer sept lunes dans l’Entre-Deux. Pour se souvenir de ses vies passées. Et ensuite, pour oublier. Ils veulent que vous oubliiez. » 1990, Colombo. Alors que la guerre civile au Sri Lanka est à son apogée, le photographe de guerre Maali Almeida se réveille dans un grand bureau céleste. Une employée harassée l’informe brusquement qu’il est mort, son cadavre gît dans les profondeurs du lac Beira. Depuis cet Entre-Deux, une dernière chance s’offre à lui : Maali dispose d’une semaine – sept lunes –, pour résoudre le mystère de son propre meurtre et révéler des clichés qui changeront le cours de ce conflit sanglant et sans merci. Il se lance alors dans une enquête rocambolesque au coeur de la capitale sri-lankaise avant que son témoignage sur des atrocités ne tombe entre de mauvaises mains, ou pire, dans l’oubli. S’inspirant du folklore et de la mythologie du Sri Lanka, Shehan Karunatilaka brosse un portrait kaléidoscopique des vivants et des esprits, personnages romanesques ou figures historiques, qui cherchent tous vengeance ou vérité. »


The Love Hypothesis d’Ali Hazelwood (⭐⭐⭐⭐⭐)

J’avoue, je suis faible, j’ai craqué pour Adam, beau, brun, intelligent… Mais au-delà de ça, la romance fonctionne parfaitement, c’est touchant, drôle, et l’univers des sciences et du doctorat change de ce qu’on peut voir habituellement, ça fait du bien !


« Olive Smith, étudiante en troisième année de thèse, ne croit pas aux relations durables ; Anh, sa meilleure amie si, raison pour laquelle Olive se trouve dans le pétrin. Afin de convaincre Anh qu'elle est heureuse en amour, Olive ne peut se contenter d'un simple mensonge : les scientifiques ont besoin de preuves. Comme tout biologiste qui se respecte, Olive panique et embrasse le premier homme qu'elle voit. Or cet homme n'est autre qu'Adam Carlsen, jeune professeur sexy et tyrannique à Stanford. Contre toute attente, Adam accepte de prétendre être son petit ami. Plus surprenant encore : il est parfait en tout point. Soudain, leur expérience est proche de la combustion, et Olive découvre que tester ses hypothèses sur l'amour peut s'avérer dangereux quand c'est son propre coeur qu'on met sous un microscope… »


L’aile des vierges de Laurence Peyrin (⭐⭐⭐⭐⭐)

Une relecture pour pouvoir animer le Bookclub Kube, mais j’ai adoré relire ce roman que j’avais beaucoup apprécié à l’époque. Une histoire de femme forte, de féminisme et d’amour malgré tout, dans une société d’après-guerre qui n’est pas forcément tendre avec la femme…


« Angleterre, avril 1946. La jeune femme qui remonte l’allée de Sheperd House, majestueux manoir du Kent, a le coeur lourd. Car aujourd’hui, Maggie Fuller, jeune veuve au fort caractère, petite-fille d’une des premières suffragettes, fille d’une sage-femme féministe, entre au service des très riches Lyon-Thorpe.Elle qui rêvait de partir en Amérique et de devenir médecin va s’installer dans une chambre de bonne.Intégrer la petite armée de domestiques semblant vivre encore au siècle précédent n’est pas chose aisée pour cette jeune femme cultivée et émancipée. Mais Maggie va bientôt découvrir qu’elle n’est pas seule à se sentir prise au piège à Sheperd House et que, contre toute attente, son douloureux échec sera le début d’un long chemin passionnel vers la liberté. »


Des lendemains qui chantent d’Alexia Stresi (⭐⭐⭐⭐)

Une jolie lecture poétique qui suit la vie d’un chanteur de génie à l’opéra, depuis sa naissance jusqu’à sa mort. Une belle plume rythmée qui sait narrer les aventures d’un homme à travers la guerre, l’ambition, la déception, l’espoir, la passion…


« Paris, 1935. Lors de la première du Rigoletto de Verdi à l'Opéra-Comique, un ténor défraie la chronique en volant la vedette au rôle-titre. Le nom de ce jeune prodige ? Elio Leone. Né en Italie à l'orée de la Première Guerre mondiale, orphelin parmi tant d'autres, rien ne le prédestinait à enflammer un jour le Tout-Paris. Rien ? Si, sa voix. Une voix en or, comme il en existe peut-être trois ou quatre par siècle. Cette histoire serait très belle, mais un peu trop simple. L'homme a des failles. D'ailleurs, est-ce vraiment de succès qu'il rêvait ? En mettant en scène avec une générosité folle et une grande puissance romanesque des personnages inoubliables, Alexia Stresi nous raconte que ce sont les rencontres et la manière dont on les honore qui font que nos lendemains chantent et que l'on sauve sa vie. »


Ladies with guns d’Anlor & Olivier Bocquet (⭐⭐⭐⭐)

Une BD recommandée par ma libraire et elle commence à bien me connaître ! Un western revisité à la sauce féministe, dans une ambiance Tarantino. Ca explose, ça saigne, c’est drôle… Que demander de plus ?


« L'Ouest sauvage n'est pas tendre avec les femmes... Une esclave en fuite, une indienne isolée de sa tribu massacrée, une veuve bourgeoise, une fille de joie et une irlandaise d'une soixantaine d'années réunies par la force des choses. Des hommes qui veulent les maintenir en cage. Des femmes qui décident d'en découdre, et ça va faire mal. Ladies with guns est l'histoire de la rencontre improbable entre des femmes hors du commun refusant d'être des victimes »


Luminaries de Susan Dennard (⭐⭐⭐,5)

Une lecture sympa, l’univers est plutôt agréable avec ce côté fantastique cauchemardesque, mais l’intrigue est assez convenue et surtout, Winnie m’est sortie par les yeux. Trop adolescente pour moi, peut-être ?


« La ville d’Hemlock Falls est unique en son genre : elle n’apparait sur aucune carte et la forêt qui l’entoure est peuplée de monstres qui tentent de s’en échapper à la moindre occasion. Heureusement, les Luminaries veillent… Winnie Wednesday, 16 ans, n’a qu’un objectif : rejoindre les rangs de ces chasseurs d’élites chargés de protéger la ville (et l’humanité tout entière) des créatures de la forêt. Pour cela, la jeune fille doit absolument réussir les trois épreuves initiatiques organisées dans les bois... et si elle veut espérer survivre, il lui faudra l’aide du chasseur le plus prometteur de sa génération, Jay Friday, qui n’est autre que son ex-meilleur ami. Et rapidement, les complices vont découvrir que, dans les bois, les monstres ne sont pas toujours ceux que l’on croit »


La rage des faes d’Alessa Thorn (⭐⭐⭐)

Bon, ça se lit, mais j’ai du mal à comprendre ce genre de roman. Quitte à ce que l’intrigue soit réduite au minimum, mettez au moins du smut ! Parce que là, on a une romance un peu improbable et qui arrive beaucoup trop vite, très peu de cul et une histoire qui se termine en deux coups de cuillère à pot.


« Depuis mille cinq cents ans, les faes préparent leur vengeance et leur retour en Angleterre pour y revendiquer la place qui leur revient de droit. Pour le prince Kian, hors de question qu'une humaine infernale lui mette des bâtons dans les roues. Pourtant, sa nouvelle esclave, capturée comme prise de guerre, représente peut-être la clé de son salut. Kian a besoin du sang d'Elise pour briser la malédiction qui le détruit à petit feu. De son côté, Elise doit guérir Kian de cette même malédiction pour gagner sa liberté. Quand on passe un marché avec un fae, on ne peut pas revenir en arrière. Mais le jeu en vaut-il la chandelle si sa liberté lui coûte son coeur et condamne son pays ? »


Cléopâtre et Frankenstein de Coco Mellors (⭐⭐⭐⭐⭐)

Pfiou, cette lecture fut éprouvante émotionnellement, mais j’ai adoré la peinture cynique et féroce faite de notre société vide qui produit des êtres tout aussi vides, en quête de sensations, par la drogue, le sexe, l’amour, mais incapables d’aimer…


« New York est sur le point d’échapper à Cléo. Elle ne s’est pas fait d’amis aux fêtes qu’elle fréquente, son visa étudiant va bientôt expirer et elle n’a même plus de quoi payer ses cigarettes. Le retour à Londres et l’échec que cela représente se rapprochent chaque jour. Mais voilà qu’elle rencontre Frank. Il a vingt ans de plus qu’elle, des amis, du succès, de l’argent et la nationalité américaine. La chronique brillante, drolatique, douloureuse d’êtres humains imparfaits en quête d’absolu qui ratent l’essentiel avec les meilleures intentions. »




Alors, qu'as-tu lu en mars ?

Et est-ce qu'un de ces romans ne rejoindrait pas ta wishlist ou ta pile à lire ? 😉

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